Cette exposition se compose de deux parties distinctes qui se répondent et questionnent tant : le passé dentellier d’Arlanc, le regard des publics face aux œuvres de dentelles – avec « les cercles de dentelle » -, que sur le travail de l’araignée, sa toile et les tissages dont la conception récupérée, dépasse la nature pour la création de réseaux.
La grande installation « un – pénétrable » de sculptures molles, réfléchit l’ambiguïté et l’enfermement insidieux des réseaux qui multiplient les traits d’union pour mieux désunir et isoler.
Les créations de Martine Viala seront présentées simultanément sur quatre lieux d’Arlanc : le Musée de la dentelle, le Jardin pour la Terre, l’Espace Particulier d’Art Actuel (côté vitrines) et au Jardin des Sculptures.